Le 6 mai 2007, la rédaction de LaTéléLibre s’était mobilisée pour vous faire vivre au plus près le…

Le 6 mai 2007, la rédaction de LaTéléLibre s’était mobilisée pour vous faire vivre au plus près le deuxième tour de l’élection présidentielle. De Neuilly, à la rue d’Enghien, de la salle Gaveau au Fouquet’s, de la place de la Concorde à la Gare de Lyon en passant par la Bastille, retour sur la journée que Nicolas Sarkozy attendait depuis tellement longtemps… Notamment en se rasant le matin !

NICOLAS VOTE SANS CECILIA

Contrairement au 22 avril 2007, Nicolas Sarkozy est allé voter sans Cécilia ce matin dans une école de l’île de la Jatte à Neuilly sur Seine. Il était un peu plus de 12 heures, il est arrivé avec deux heures de retard sur le planning prévu, accompagné des deux filles de Cécilia, mais sans Cécilia, en voiture, ont constaté les très nombreux journalistes présents. Allan Rothschild, Frank Bayard et Bruno Martin étaient là. Plan séquence…

C’EST NICOLAS SARKOZY !

Notre nouveau Président de la République est Nicolas Sarkozy. A minuit, les résultats étaient les suivants : 53,2 pour Nicolas Sarkozy et 46,8 % pour Ségolène Royal. Nicolas Sarkozy a quitté le QG de la rue d’Enghien peu après 20 heures pour rejoindre la salle Gaveau suivi d’une meute de motards. Il a dîné au Fouquet’s avant de rejoindre la place de la Concorde. Cécilia a rejoint Nicolas au Fouquet’s.

PLACE DE LA CONCORDE , LE 6 MAI 2007

Ce reportage a été tourné Place de la Concorde le 6 mai 2007 à partir de 19 heures. Tout le monde se doutait déjà que Nicolas Sarkozy avait gagné et qu’il serait notre nouveau Président de la République. Christophe Tisseyre et Bruno Martin était sur place pour recueillir les premières réactions des militants UMP.

BASTILLE-GARE DE LYON: LARMES A L’OEIL

6 mai 2007, 23h30, si l’ouest de Paris semblait triompher, à l’est en revanche, désarroi et colère étaient visibles. Place de la Bastille, et Gare de Lyon des heurts ont eu lieu un peu plus tôt dans la soirée. Les CRS repoussaient vers République à coup de lacrymogène une centaine d’énervés. Apparemment, pas de casseurs en bande organisée, plutôt des petits groupes durs d’extrême gauche. Quelques pavés ont été descellés et un arrêt de bus ruiné. Les CRS allaient les poursuivre jusqu’à République, et même certains jusqu’à la gare du Nord.

Christophe Tisseyre, Matthieu Martin, Henry Marquis, Matthieu Daude et Philippe Ernewei