1er décembre : journée mondiale de lutte contre le sida.
Parce que le sida fait 5500 morts par jour, parce que l’équivalent de la moitié de la population française vit avec le sida/VIH dans le monde et parce que tout simplement le virus est plus que jamais omniprésent aujourd’hui, le 1 décembre, il est temps de donner.
Pour l’évènement, la mairie de Paris installe durant trois jours, Place de l’Opéra Garnier, un compteur géant. Il enregistrera l’évolution de deux chiffres à travers le globe : le nombre de personnes contaminées par le virus du sida et le nombre de personnes séropositives qui ont accès au soin en même temps. 33 millions de personnes sont atteintes de cette maladie, seulement 3 millions ont accès au traitement.
Pour encadrer cette journée, l’association AIDES lance une nouvelle campagne de collecte et de prévention, intitulée « Aides Attitudes », du 15 novembre au 31 décembre. La première association française de lutte contre le virus du sida met l’accent sur le port du préservatif. Elle compte sur de nombreux dons, et recommande d’en parler autours de soi. Il suffit, par exemple, de quelques minutes pour copier le badge de Aides sur son blog et ainsi montrer ainsi à ses amis que l’on soutient la collecte. Parfois, la solidarité, c’est simple, comme un clic.
Marie Périssé
Commentaires
"SON" sans T évidement…
Jvais choquer les cons mais. Vous pensez vraiment que les francais vont etre généreux quand on les fout dans la merde et qu'en plus de les y laisser on fait tout pour qu'ils y restent? Z'avez pas un peu l'impression sur ce genre de truc que ca ait un coté un peu "mal placé". Que sarkozy donne de l'argent, SONT argent, pas le notre, que boloré et ses autres amis donne de l'argent, que les actionnaires et autre vampire donne l'argent qu'ils volent a longueur de temps au reste du monde et sont la principal cause avec l'eglise peut etre de la propagation du sida et de sont non combats. Sans eux la problème serait deja quasiment réglé je pense. Alors comptez pas sur moi et le reste de la population pour payer encore les saloperie des possédants.