SOUS LES PAVÉS, SÉGOLÈNE ROYAL (INTÉGRALE)

Moi finalement je préfère ne pas savoir ce qu'elle fera ou pas après. Faut dire que j'aime les surprises d'autant plus que de sa part, elle ne saurait être que bonne. Et puis c'est à tête reposée et après mures réflexions qu'elle s'aura quoi faire de bien pour elle, le ps et les français dans l'avenir. Je pense que ceux qui ont su la voir au dela des mauvaises apparences médiatiques et des commérages de bas étages, continueront à lui faire confiance et seront bien récompensés de leur patience.

C'est une personne aimant être à 100% dans ce qu'elle fait et au moment ou elle à décidé de le faire. Elle y met tout c'est a dire aussi bien son énergie, son coeur et son esprit. En conséquence, le titre le son livre ne doit pas étonner puisque je pense qu'elle à rencontrer un certain "amour" (le mot que replace le blanc du titre) entre de ce qu'elle à donné et ce qu'elle recu des personnes rencontrées lors de sa campagne. Ou plutôt une empathie réelle et sincère qui lui a permis aussi de tenir le coup. C'était l'énergie positive de l'amour de millions de gens anonymes contre l'énergie négative de la haine ou frustrations de quelques personnalités. Il est navrant par contre que des journalistes ne travaillant pas pour des magazines dit "people", cherchent aussi à forcer la porte de l'intimité comme si un personnage politique n'avait pas le droit de séparer son travail de son ménage. Va-t-on demander à Lepers si sa femme est toujours avec lui et s'il était en période de séparation, si cela affecté son libre arbitre ou sa facon de travailler ? De plus, je certifie que ce qui s'est passé ou se passe dans la vie intime de Mme Royal, les francais sain d'esprit s'en fiche royalement. Pour ma part, je préfère penser à comment je vais pouvoir finir financièrement mon mois que savoir que font les politiques dans leur vie privé. Si un jour mme Royal décide d'en parler, on est en devoir moral de lui en laisser le choix quand la façon et au moment. Question de respect de soi et de l'autre. Ce qui est marrant c'est que monsieur Calvet se plaind de ne pas avoir pu photographier Mme Royal à n'importe quel moment de son choix. C'est comme s'il pensait que la liberté consiste à avoir tout les droits. Il doit bien se rendre compte qu'en face, Sarkozy avait le total control de son image renforcant ainsi celle ci. Donc il ne pouvait être pris au dépourvu dans un moment de "faiblesse" puisque même la liberté dont bénificié monsieur Calvet (et ses collègues journalistes) envers le traitement de l'image de Mme Royal, été refusé par Sarkozy. Malgré tout, et la photo des roses aux pieds de Mme Royal le prouver (sans parler des images et commentaires ridicules sur ce que portait Mme Royal lors de ses meetings par les médias), je pense que les journalistes en général ont eu nettement plus de liberté de ton avec Mme Royal qu'avec Sarkozy. Quand à l'incident dans le bus avec monsieur Lepers (que j'adore perso ^^), ce dernier doit bien bien se rendre compte aussi qu'il n'a pas été tres tendre dans sa façon de parler à Mme Royal car au moment ou elle commence à rebondir sur sa première question, il lui coupe la parole pour lui en poser une 2e alors que la première était en cours d'explication. On sent bien la frustration du journaliste n'ayant pas eu la veille les réponses expérées. Sans oublier le fait que Mme Royal était vraisemblablement concentrée sur ce qu'elle allait dire et que monsieur Lepers par sa façon de n'être jamais la ou on l'attend, risquait de lui la faire perdre. La distance naturellle entre les journalistes et mme Royal doit s'expliquer du fait qu'elle veut bien montrer et démontrer à tous, qu'elle ne veut pas avoir ou fait penser qu'elle a les journalistes dans sa poche. Elle aime avoir une réelle adversité en face d'elle afin d'expliquer au mieux ce qu'elle pense, ce qu'elle est et ce qu'elle désire, le tout dans la meilleure harmonie possible. C'est une nouvelle facon de faire de la politique consistant à être en phase avec la personne avec qui l'on parle sans chercher une fusion totale par crainte de se perdre en route. C'est le désir total mais avec la morale comme garde fou. C'est peut etre la le fait que des personnes sentent chez elle un coté "coincé" s'expliquant par le fait qu'elle voudrait aller plus loin mais jamais au détriment de ses convictions, de ses valeurs. Je vais rectifier quelques points concernant (à mon sens) la véritable raison de la défaite du parti socialiste à l'élection présidentielle. 1) Le manque totale de préparation d'un programme avant même le choix du candidat qui représenterait le parti socialiste à l'élection. 2) La médiocrité de certaines personnalités du ps frustrés de ne pas avoir été choisi ou qu'une femme ait été préféré à un homme même si ce n'est pas pour une histoire de sexe comme ils se forcaient à le penser pour amoindrir leur frustration d'homme mais bien une pour une question de représentativé et de capacité. D'ailleurs, certains ont rejoind le clan Sarkozy sous des prétextes fallacieux afin de régler leurs comptes à celle (et ceux qui l'ont soutenue) qui leur "a piquer la vedette". 3) La propagande honteuse faite à Sarkozy par des médias diverses (et ca continue encore de nos jours) poussant à faire croire aux électeurs que mme Royale n'était pas à la hauteur con trairement à son adversaire direct et idéalisant le programme de Sarkozy qui n'avait alors qu'a faire croire que le sien était parfait dans la forme et que dans le fond, il était éronné par des chiffres rocambolesques (peut-être d'ailleurs que ces chiffres donné sur tf1 lors du débat Sarkozy-Royal, ont été rapidement trouvé par Besson). En bref, les médias ont valorisé l'image de Sarkozy tout en décomposant celle de mme Royal. A un moment, monsieur Lepers dit qu'il faut parler du parti socialiste et on entend une voix fémine dire : "Malheureusement". J'aurais aimé savoir qui a dit et surtout pourquoi "malheureusement" ? J'aurais bien d'autres choses a dire mais ca serait trop long (ca l'est peut etre déjà d'ailleurs. lol).