Un sondage IPSOS-le point disait cela ce jour-là.
« Jacques Chirac arriverait en tête du premier tour de l’élection présidentielle et l’emporterait au second avec 52 % des suffrages. Si cette élection avait lieu dimanche 1er février 2002, arriverait en troisième position Jean-Pierre Chevènement, avec 12 % des voix, suivi de Jean-Marie Le Pen avec 9% et d’Arlette Laguiller avec 7%. Lui succéderaient Robert Hue avec 5%, à égalité avec Noël Mamere et Alain Madelin. François Bayrou était crédité de 4 % des voix. »
Ce matin , le 1 er février 2007, à Rungis, Nicolas Sarkozy prédisait à François Bayrou le même destin que Jean-Pierre Chevènement, un 1 er février prometteur mais une fin avril en pleurs. Le candidat de l’UDF était à 11% dans un sondage Paris-Match-Ifop daté du 31 janvier 2007.
Commentaires
[...] éléments en vrac, j’y reviendrai peut être… : IL Y A 5 ANS…LE 1ER FEVRIER 2002 : Un sondage IPSOS-le point disait cela ce jour-là. « Jacques Chirac arriverait en tête du [...]
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L'ironie de Nicolas Sarkozy cache mal la terreur qu'évoque pour lui le seul nom de François BAYROU . Et en effet, il a raison de trembler, parce que si par malheur pour lui il parvenait au second tour face à François BAYROU, il lui faudrait alors argumenter, défendre bec et ongle le bien fondé d'un programme, qui devrait nécessairement convenir à une partie de "la gauche", et ceci face à un adversaire redoutable armé d'un programme plein de bon sens. Cet adversaire nommé François BAYROU, il ne le connait que trop bien et il sait qu'il n'aurait aucune chance face à lui. Merci à LaTeleLibre pour cet espace de liberté
Moi aussi, je suis persuadée que Sarkozy ne sera JAMAIS Président de tous les Français. Bayrou a selon moi toutes ses chances, car la situation est beaucoup plus grave qu'en 2002 et les Français en ont assez de cette gué-guerre droite - gauche...
Sa majesté Monsieur Sarkozy dit le prophète prédit l’avenir, j'en ris. Un conseil que je lui donne, il ferait bien de surveiller son propre score de sondage car lui avec sa copine Ségolène risquent bien de chuter. D'ailleurs la chute de Ségoléne commence, celle de Sarkosy va suivre bientôt. A force de faire les malins, ces deux présidentiables pourraient avoir une belle surprise. Un second tour Bayrou face à Le Pen.